L’ÉNERGIE DU SOUFFLE

26 février 2015

Le Souffle du réel, c’est aussi l’expression de Dieu dans la valeur absolue qu’Il est.
Le souffle a une base dans la colonne de l’être qui se manifeste comme une énergie dans le moment de défense de l’être divinisé.
Dans la réalité du souffle absolu qui est aussi en vrai la lumière originelle sous sa forme souffle, l’énergie se comporte comme l’élément propulseur d’une réalité dans le bon sens et dans l’aptitude de l’être.
Dans la manipulation de l’énergie comme souffle, la parole est l’élément virtuel de cette réalité qui doit faire le pourquoi elle est déployée.
Sur le plan de la manifestation réelle de l’énergie comme souffle, la distance est nulle pourtant, la cible a tous les ressentis d’une réalité vraie dans le champ élargi de la science du champ de ce souffle.
Dans le reflet du souffle de l’applicabilité de l’énergie, le couloir à transmettre est aussi la lumière qui a permis à l’être, d’être lui-même éveillé et de partager cet instant.
Dans la vacuité de l’énergie, le souffle devient un état d’être qui peut s’étendre à l’infini pour le bien du porteur ou de l’acquéreur.
La relativité du souffle vient du comportement quotidien qui doit être soit préservé, soit souillé. Dans la réalité, les vestiges de ce souffle doivent être éternels en l’être pour lui permettre de se ressourcer et de pratiquer à tout vent la réalité de l’instant.
L’énergie qu’il porte en lui et la connaissance sont la réalité de l’instant vécu pour faire d’une réalité de Dieu l’universalité qui doit être visible.
Le souffle qui devient énergie est aussi la mutation dans la conscience de l’être qui ne peut donner que la réalité qui est sienne dans la valeur absolue de son ensoi et de son esprit, cette fois là en tant que être divinisé.
Le souffle absolu qui est Dieu est aussi dans ses lois la réalité de la connaissance qui ne peut faire que du bien dans le milieu naturel et vital.
Au cœur de l’énergie du souffle, la lumière a son expression qui ne peut être que la qualité sainte de l’être qui a fait cette expérience dans l’état de son Esprit en Dieu.
Au cœur de la réalité du souffle en tant que le verbe, la parole légitime, facilite et transmet le potentiel en l’être pour le défaire d’une caractéristique incomprise ou vile.
Par l’Esprit de Dieu, le souffle peut être feu, lumière, grand ou petit. Or dans la valeur absolue, toutes les qualités ou états de l’Esprit ne sont qu’une réalité en fonction du temps et le vouloir qui doit être pour le bien humain.
Dans la réalité transmise de Dieu, la sainteté devient une qualité perpétuelle qui doit se propager pour l’avènement du véritable royaume parmi les hommes.
Dans la quintessence de l’énergie absolue dans la directive de souffle, le temps et l’espace n’ont plus une valeur et le lieu ne peut être que soumis à la variation de l’énergie en place pour l’équité et l’équilibre sur le plan de la conscience et de la faisabilité.
Dans le pouvoir réel, le souffle qui transporte une énergie ne tient la volonté que de l’homme, mais aussi de la qualité qui a fait de l’homme ce qu’il est.
Dans le quotient éligible d’une conscience, le souffle dans l’énergie fait le choix de l’être qui est apte à transmettre ou à porter une réalité au cœur de la spiritualité.
Dans la conscience absolue de l’être-Dieu, le tout répond à l’énergie qui est la manifestation de l’être en sa base absolue.
L’énergie du souffle est donc l’Esprit qui tient sa qualité de Dieu qui doit être manifeste pour le bien quotidien de l’être dans son besoin d’une réalité proche du bonheur et de ce que l’être divin veut pour lui.
Dans l’énergie d’un être céleste, la paix est primordiale pour le rayonnement dans la plénitude qui doit faire ou réaliser l’objet de son être.
Dans le souffle comme transport de l’énergie dans le bon vouloir de Dieu, l’homme qui est acquéreur d’une telle réalité doit être charitable et bienveillant pour que l’énergie par ce souffle soit toujours accrue et manifeste par là, la qualité réelle en soi dans le sens divin.
Dans la plénitude du souffle divin, tout l’être transformé manifeste une certaine cadence qui ne peut répondre qu’à la qualité céleste de l’homme.
Dans la plénitude de l’énergie comme transport du souffle, la lumière parle et reparle d’elle-même autant de fois qu’il est possible pour permettre l’écoute d’une réalité qui est palpable et juste en nous.
Dans la plénitude d’une qualité en nous, l’effort devient un défaut et la souplesse une qualité.
Dans la réalité de la plénitude en Dieu par le fil, parler ne relève plus d’un mal entendu, mais d’une réalité qui doit donner la quintessence de sa présence pour marquer son temps et la volonté qui est la sienne en tout temps.
Dans la plénitude de Dieu comme énergie indifférenciée, ce qui est, l’est pour toujours et à jamais.

Reçu par le Prophète Rostant Tchepbiap