LES 20 MYSTERES OU LE FONDEMENT DE DIEU EN NOUS (ORACLE DU DESTIN)
- Il n’y a que Dieu pour valider un mystère.
- Le plus grand mystère c’est le pouvoir par le souffle, c’est pouvoir accepter de demander pardon à Dieu quand il le faut et d’être béni par lui.
- Lucifer n’est pas en réalité la mort, mais comme il hait l’existence paisible, il pousse l’ombre à détruire l’existence et par récurrence la vie.
- Satan n’est ni doué en langues, ni doué en calculs, mais il se contente de singer.
- C’est dans la confiance en Dieu qu’on découvre la vie :
– Satan n’aime pas que nous soyons rattachés au cordon ombilical de l’énergie de Dieu ;
– En nous flattant, il nous amène à semer la confusion en nous et à être hypocrite.
- Le verbe de Dieu vient du souffle et de la lumière de Dieu.
- Certaines consignes de l’islam n’ont pas été respectées. Les sourates sur le père et l’énergie n’ont pas été respectées. Certaines pénombres ont entrainé des hallucinations à certains croyants. L’unité de l’islam devrait se résumer en : être ; se taire ; croire en Dieu ; étudier non la magie mais la puissance et la grâce de Dieu. certaines consignes n’ont pas été respectées.
C’est ainsi que l’harmonie dans la filiation n’a pas été bien définie. Ce n’est pas de la perche qu’on sort Satan de la grotte. Ce n’est pas l’envie qui fonde l’espérance mais le devoir du sacré. Connaitre et ne pas savoir être conduit au péché. Entre le droit d’aînesse et la vertu, il y a bien des nuances.
Le calendrier ne se compte pas seulement en jour et nuit, mais en adoration de l’Esprit Saint, en la vertu et au sens de la révélation. Dans le comptage, il faut tenir compte du présent réel et du savoir être. L’empirisme ne se supplée pas à Dieu.
C’est le commandement qui vient du salut qui instruit et administre. Ce ne sont pas seulement les expériences qui fondent la vie mais l’éclat de ce que la conscience vit selon la volonté de Dieu. En humanisant les gestes de Satan on commet un péché grave devant Dieu. La réalité de Dieu est que la vraie idée selon Dieu est surtout inspirée.
Entre ce qu’on a vécu et qu’on a ressenti il y a des nuances et Satan, si rusé, a profité de notre indolence entre ce que nous avons vécu et ce que nous avons ressenti selon la vertu pour nous induire en erreur. Il est venu et il a agité le spectre et les hommes en s’agitant autour du spectre n’ont pas détecté la ruse de Satan.
- La loi cosmique selon Dieu c’est l’harmonie dans l’agencement des éléments de l’unité. Ce n’est pas ce qu’on sait qui est important mais ce qui est ressenti et vécu dans l’espoir d’un meilleur idéal.
- Le renoncement et l’altruisme ne fonde pas la même réalité. L’altruisme ne s’absente pas.
- Dieu ne condamne pas l’islam. Il recommande surtout à l’âme sage de considérer ce qui émane de l’harmonie et du devoir, et aucun principe de Dieu ne détruit pour détruire. C’est le principe du verbe sacré : conscientiser, accepter, chercher le dépassement. Tel est le réel de celui qui cherche l’unité.
- Connaitre l’islam véritable, c’est rechercher l’éthique et le sacré et non de s’abstenir d’aller dans les profondeurs du verbe. Quant Dieu dit :<<tu es poussière et tu retourneras poussière>> cela ne veut pas dire qu’il chosifie la vie. Selon Dieu, pour aller à 2, il faut expérimenter le 1 et non mépriser le 1. C’est la loi des saints de Dieu.
- Gloire à Dieu ne signifie pas que Dieu est le plus fort, mais qu’en toute connaissance de cause nous nous soumettrons à Dieu, donc à ses principes dont l’essentiel est le respect de la Vie, le fondement de l’énergie spirituel.
- Le fondement de l’islam n’est pas la place de Dieu dans l’islam mais la place de l’homme pour l’homme dont l’humanisme et le spirituel.
- Nous sommes chrétiens, donc si nous ne croyons plus à Dieu, c’est une aberration ! c’est de l’unité de la conscience et du sacré que nait l’idée de Dieu.
- Le souffle qui vient de Dieu n’étouffe pas mais il rayonne et prospère car l’idée de Dieu mesure la densité de ce qui est honoré et sacré. La victoire sur la mort est l’espérance en la Vie. Croire en Dieu c’est être convaincu que Dieu existe et suivre ses actes, son destin, son humanité.
- Satan ayant tendance à agiter des spectres pour nous ébranler, nous devons épeler le vrai nom de Dieu pour rester dans la fidélité envers lui. Ce n’est pas un pacte qui nous unit à Dieu mais surtout la conviction que nous avons d’être en permanence rattachés à un principe. C’est de l’univers tout entier qui vibre au rythme selon un seul idéal et une unité : la conscience du devoir et du sacré.
- L’abondance ne suffit pas mais la notion du respect et du devoir sacré importe beaucoup car l’unité ne consiste pas à se définir soi-même mais à se consolider en tant qu’élément actif de l’univers, donc un élément de la prise de conscience et de la conformité avec l’harmonie de l’être tout entier.
- Le Moine n’est pas nécessairement bête mais c’est un être qui étudie le sacré à sa façon. Mais si le sacré est trop replié sur soi, c’est du vampirisme spirituel.
- La doctrine du sacré n’est pas la doctrine de la vie mais le principe de la relation avec le divin dépouillé de toute humanisation incontrôlée, de tout idéal coupable ou versatile.
- Le fondement de Dieu en nous est le fondement de l’Esprit et de la Sagesse et qui dit sagesse dit reconnexion avec l’Esprit de la Rectitude car pour croire, il faut avoir l’Esprit et la Foi : voilà L’ORACLE DU DESTIN, l’amour pour la conscience et l’unité.