AU CŒUR DU SOUFFLE DE L’ODYSSEE CELESTE

C’est la paix, la tranquillité et l’amour dans l’unité.
C’est la splendeur d’un air tranquille, calme et doux.
C’est l’instant décisif où le ça et le moi fondamental jubilent dans le silence, la puissance de l’unité.
C’est l’instant au cœur duquel le triomphe de la transcendance propulse l’être au triomphe.
C’est l’après tempête au cœur de la mer.
C’est l’après où le résultat synthétique des actions menées et bien canalisées atteint son paroxysme.
C’est l’instant où la joie dans la béatitude laisse transparaitre la profondeur dans l’harmonie.
C’est l’instant où le pâturage est tout vert, productif et rayonne.
C’est l’instant de l’abondance dans la sagesse et le discernement où le cœur de l’être ensoleillé devient le point fusionnel et connecteur à tout ce qui est susceptible d’exister.
C’est l’amour de communication avec le « UN » de l’universalité qui se jumelle avec le soi et donne à l’être d’être bercé.
Alors ce que vous devriez savoir, c’est que dans l’Odyssée Céleste, l’être est défini.
Cet être sans son vouloir se retrouve dans un voyage pas par préméditation dans la mesure où les circonstances de la vie l’en obligent.
Ce qui est louable, c’est que cette traversée de la mer n’est pas facile. La mer ou l’océan peuvent être palpables ou juste une illustration pour qualifier ce que l’être vit ou traverse.
Et là, la traversée de l’océan devient plus subtile et interne que physique.
C’est dans cette traversée que l’être qui au départ est un néophyte va être formé indépendamment de sa volonté.
Il se verra par moment traîner à gauche et à droite par les tempêtes et c’est là que sa foi de par ses convictions et la croyance au Dieu unique lui confèrera une capacité de résistance pour faire face aux intempéries.
Le voyage à travers la mer ou l’océan peut durer des mois voire des années. Mais ce n’est pas le temps qui compte car mille ans chez nous sont comme un jour chez Dieu.
Ce qui est intéressant, c’est que c’est pendant cette transition que l’on acquiert la maturité qui fait de vous des vrais hommes.
Pendant cette traversée en mer, les ennemis peuvent surgir de tout côté.
Les ennemis peuvent être la pauvreté, la maladie, l’aïeul que réfute la voie choisie, des disputes et malentendus avec des proches, le manque de confiance en soi, les doutes, les attaques, les pratiques de toutes sortes que l’on peut subir, etc.
C’est l’instant de développer son attention. C’est l’instant où l’être navigue de définition en définition.
L’être vit l’isolement interne et navigue par moment dans les nuages, qui à un moment se voient dans un gigantesque océan.
Ayant à l’esprit le point d’arrivée ou l’objectif à atteindre, étant conscient du changement irréversible que cela apporte dans sa vie et dans celle de plusieurs, la force innée qu’il porte en lui le revivifie et lui redonne un regain d’espoir.
L’être redéterminé d’arriver jusqu’au bout de sa mission sans pour autant maîtriser la nature des vagues et des intempéries n’a que comme arme sa foi : la foi en Dieu et la foi en ses possibilités et l’abandon à la nature
Mais une chose est vraie. C’est que cet être secrètement est animé par la générosité, le désir de rendre service et de voir les autres heureux.
L’amour et la générosité deviennent le sens et la motivation qui le canalisent, le stimulent et le boostent.
Pendant cette traversée, il apprendra à ne compter que sur Dieu et sur ses propres capacités.
La trahison lui fera par moment connaitre le déchirement. La maladie lui rappellera qu’il peut mourir à tout moment. Les intempéries, les attaques de toutes sortes lui rappelleront qu’il n’est rien, mais un serviteur inutile.
Au cœur de cette tempête, il apprendra à connaitre et à comprendre la vie. Il comprendra que tout est vanité. C’est l’instant où l’humilité, la sagesse profonde se forgent en lui.
Egal à lui-même et à sa définition première, il reste fidèle et obéissant à Dieu. Il n’agit pas par pulsions émotives. Par conséquent, il n’est plus dans la logique de la vengeance ou de rendre ce qu’il a qualifié de mal par le mal.
Il acquiert au fur et à mesure la maturité, le discernement et la grande intelligence. Il transite de champ de conscience en champ de conscience.
C’est dans le calme actif de paix et de profondeur que son cœur blessé est restauré et sa conscience illuminée fait jaillir des étincelles de lumière qui anoblissent l’âme et donnent à l’être de fondre dans une splendeur harmonieuse ou sa vision devient puissante.
L’être rechargé vit des instants de béatitude qui lui donnent dans l’unité d’exprimer le verbe.
Sans le vouloir, il va se sentir bousculé par la connaissance et l’obligation de bien faire et de faire chaque chose dans le strict respect des modalités selon l’Art Céleste.
Cet état d’être rend l’être enrichissant et lui confère un bouleversement, un chargement et une recodification des données de son être. Il rayonne et progressivement, il a accès à la cour des grands et peu de temps en être invité dans les Cieux.
Sa persévérance et sa hardiesse lui confèrent au fur et à mesure l’ouverture du cœur qui conduit à l’ouverture des 12 chakras principaux.
L’être dans cette dynamique va de hauteur en hauteur emmagasinant les expériences, les connaissances dans divers domaines selon sa sensibilité et selon le Saint-Esprit, Jésus-Christ et Dieu, son guide infaillible.
L’être redevient Souffle, Être Soleil atteint son objectif qui n’est autre que de redevenir Lumière et vit pleinement la grâce que vivent les véritables élus à cette dimension.
Il fond au Cœur du Souffle de l’Odyssée Céleste et vit des merveilles. L’être renait et redevient l’être au cœur qui plait à Dieu.

Reçu Par la Prophétesse Jeanne TCHENEBE du CILO