L’ETINCELLE DE VIE - Cilocameroun

La vie est au souffle ce qu’est le corps à l’esprit.
La vie dans la valeur relative déchante l’espérance en Dieu-créateur.
La vie comme chaine est l’incident qui habita en l’être Adam.
La vie manifeste à la croisée du chemin qui doit redevenir le pôle utile de l’homme.
La science de vie est le B– a =Ba de la création qui fait de Dieu l’Etre le plus aimé de tous les temps.
Dans la vie, le temps tient du plus de l’être qui se définit comme une certaine réalité.
Au cœur de la science de la vie, le plus et le moins tendent à être dans le même pourcentage au départ qui a fait du souffle, le vase de la nouvelle Jérusalem.
Au cœur de la science céleste, l’unité fait partie d’un tout qui, lui-même est l’origine dans le singleton d’une donnée absolue.
Pour la science de l’intellect, le cerveau canalise et régente la connaissance et le savoir de l’homme en tant que matière vile.
Pour la lumière absolue, le sens de vie comme élément énergique est le quotient dans l’absolue d’une qualité qui est réellement.
Pour la science des origines, l’inadéquation entre le savoir réel et la sagesse est au cœur de la membrane de l’atome du savant devenu réalité.
Pour la science des profondeurs, l’esprit en base absolue, est le plus dans l’agir qui crée dans sa membrane oculaire, le vrai de l’existence qui doit manifester qui le feu, qui la lumière, qui la connaissance dans la somme de l’être vrai.
Dans la science globale, l’univers étant dans la base de la sagesse créatrice doit être la réalité de l’homme qui lui-même dans son produit de base est le tout du savoir.
Dans le cerveau du savant, l’impulsion électro-génétique en tant que transport de l’information dans la base absolue se mute chaque tiers pour permettre que l’homme dans sa vraie valeur manifeste le quotient intellectuel qui est le sien.
Dans la vie du tout, l’énergie qui rythme l’homme crée en lui le dépôt d’une compréhension dans la manifestation absolue de la synthèse du cerveau.
La réalité de la science ou de son esprit n’est pas la dichotomie, mais l’entendement d’une situation telle qu’elle est.
Dans le point focal de l’esprit scientifique, l’intellect devenu lui-même énergie, transforme en lui les données réelles de sa connaissance en l’être existant.
L’agir dans la science ne sera plus la non définition dans la capacité à transformer, mais le quotient dans le plus de l’énergie qui fera de la science son propre Objet de connaissance.
Dans le champ simplifié du savoir au cœur de l’homme en tant que esprit, la fusion dans l’agir et la manifestation dans la compréhension n’en font que un (01).
L’esprit scientifique dort et meurt dans sa propre cadence énergétique pour créer en l’homme la sagesse nécessaire en vue d’un résultat au dessus de la moyenne.
L’homme de la science n’est très bien dans sa peau que s’il a créé ou inventé pour que dans l’écoute de son être profond créer devienne la foi qui lie à l’Objet de son désir dans l’inventivité absolue.
L’être de la science est lumière au cœur de l’étincelle de vie qui fait de zéro (0), la valeur nulle qui est aussi dans la somme des chiffres le plus ou le moins de l’énergie qui, activée, donne à l’homme de science le quotient nécessaire de créer et de recréer.
Dans la vie de l’être divinisé, la science du verbe est aussi le tonus qui crée en lui l’instant de la non cohabitation avec la faiblesse qui n’est plus que l’ombre du vil.
L’étincelle de vie qui est aussi souffle dans la valeur absolue de la compréhension porte en lui, tout le nécessaire créatif de l’homme dans le champ de la conscience vraie.
Dans la rotation de l’être, la science comme être fusionné avec l’énergie du porteur de cette âme pour laisser à l’existant la possibilité d’entendre avec précision le champ de la conscience qui doit être traduit en existence réelle.
Dans l’âme de la science, l’énergie en tant qu’Objet du flux et du reflux crée dans son cerveau la capacité à traduire les dires de l’âme enfin d’objectiver ses pensées.
Dieu comme être scientifique ordonne et c’est aussi l’instant divin dans le créé de l’univers qui fait du résultat la science parfaite.
La moralité de la science tient du résultat qui fait d’un produit une réalité qui ne peut que donner la vie à l’homme ou aux contemporains.
La science en tant que esprit de lumière vraie a ses règles ou principes qui, dans son champ ou élément de vie doit respecter des données divines afin de trouver un ressort dans l’univers qui est le sien.

Reçu par le Prophète Rostant Tchepbiap