MON SOUFFLE SOURCE D’ÉMERVEILLEMENT
Dans la plus grande catégorie des oxydes, j’évacue souvent l’anode de la cathode des substances stratégiques qui peuplent l’origine des êtres donc le reflet n’est que polarité au sens des versets et notamment du cycle d’évolution des athées. C’est la raison pour laquelle le souffle est aussi appelé flamme parce qu’il regorge en ses origines les plus profondes les substituts de l’éveil au sens pur. L’éveil étant aussi ce qui reste lorsque le noumène alpha s’étend vers l’infini. D’autant plus qu’il n’y a plus de jadis j’effectue en ce moment au milieu des hypocondres un dénouement qui vise à satisfaire les plus chanceux mais aussi les plus curieux quand il faut dire que faire relève aussi du pouvoir du plus indéfini en soi.
Sois donc ferme et prépondérant car la cellulose n’est pas seulement l’origine des créativités mais elle est aussi le souffle en soi c’est-à-dire celui qui vibre lorsque les autres sont complètement démunis de leur sens participatif et même patriotique quand le souffle sens réfléchi sur les méandres subtiles de l’agir se confond éperdument avec le sens neurologique du plus infini. Sois dans le noumène souffle et non le plus non participatif qui relève des fonctions de l’hypothalamus usé et fatigué.
Dans la mauvaise injection des ondes souffles ou éthériques, je subdivise votre hypothalamus en substitut du cycle infini si l’origine du mot souffle vibre infiniment dans l’agir et le bien être participatif.
Reçu par le Prophète Aloys Onana