CET INSTANT IRRESISTIBLE DES EMOTIONS QUI NOUS CONDUISENT

Le 17 Novembre 2024
Dans l’animation des forces combinatoires du Souffle de l’Univers, il y a une méthode et un code à appliquer pour respecter la ponctualité de l’agir universel donc l’action se veut être construite dans le bon sens.
Il existe dans le psychisme de l’homme, une ombre dont la force appelle toujours à la volonté du Souffle de l’Univers. Ce Souffle de l’Univers est toujours connecté à l’Unité qui régit toutes les applications des actions.
Toute action crée et prolonge les effets du bon sens de la création. La vraie action est celle qui codifie un futur insoluble donc résistant à conjuguer l’éternité. L’irrésistibilité vient du sens contraire et égoïste du désir. Le désir étant la force fondamentale de la culture de la volonté.
Dans la réalité de la fonction de l’homme être, il y a un instant de la réalisation du pouvoir absolu qui ouvre aux analyses : c’est l’instant du supra subconscient analytique qui supplée la condition de l’Unité. C’est le champ trouble des émotions. L’irrésistibilité doit être une culture raffermie du code unique de la volonté : l’éternité, la prime automatique de la réalisation de l’instant vrai.

I. L’ECHEC
L’échec est une faiblesse de l’être et appelle à la survie. Celui qui échoue s’ouvre à la conscience des possibilités pour braver les impossibilités.
L’homme doit peindre sa vraisemblance par l’image et la ressemblance du Souffle de l’Univers. Comprendre l’échec c’est comprendre que de toute l’existence rien n’appartient à l’homme même par le don. Toute l’existence appartient au Souffle qui possède la cadence et le rythme de l’Univers.
L’homme n’est qu’un écho de la gentillesse du Souffle originel qui devrait s’y retourner et s’y référer pour toute intention d’expression. Cet homme à ce stade s’active au don qui cadre et initie au rite de la conscience du Ça : l’avoir, le pouvoir, le devoir ; la richesse et la fécondation des supports naturels de la réussite. Celui qui échoue doit retourner répondre à l’appel de la discipline et de l’obéissance.

II. LA REUSSITE
La réussite est une dépendance. C’est la chose la plus facile et sans complaisance. Elle supplée l’Unité et ouvre à la communion. Elle alimente par la joie durable le souffle de l’être et active par sa projection le bonheur parfait qui se répand et affecte de manière visible l’environnement. Elle est aussi l’art du développement par soumission des obligeances du Souffle.

III. L’EMOTION
L’émotion est un calcul de temps qui met en exergue la formulation de la méthode, qui permet d’accéder à la clé pour créer un instant de joie durable ou fondre dans un état de faiblesse. Elle est le miroir de la communion à la réussite ou à l’échec.
L’émotion a un sens qui fait voir et écouter. Une bonne émotion projette un accomplissement assuré et assurant, déterminé et déterminant. Dans son sens vrai, elle définit par essence la quintessence de l’Unité. Elle est Souffle en amont développement et précision par la présence et dignité par l’action. C’est le support de la volonté, la balance juste de la pensée et du désir de l’homme.
Dans le supra subconscient analytique qui supplée la condition de l’Unité, l’émotion ouvre à l’échec ou à la réussite.

IV. LE SUPRA SUBCONSCIENT ANALYTIQUE
Il est un champ des énergies denses qui coordonnent et ordonnent le grand instant de la Lumière. C’est le commencement de loi. C’est aussi l’auréole de l’ombre du Souffle de l’Univers qui éclaire toute créature. C’est donc l’intimité propre de Dieu qui se donne à la créature.
Il est aussi le commencement des inclinaisons par non-respect aux principes de l’ordre. Il est l’unique Souffle qui conjugue la correction originelle. Il est le code de la vie qui dispose de la réalité de tout est possible. Toutes les dimensions de l’existence naissent de son champ d’action.
Reconnaissant que le grand instant de la lumière comporte plusieurs autres sous instants dans la diversité à couper le souffle, il existe donc l’instant de l’échec, de la réussite, de l’émotion… Donc les applications sont régies par l’ordre du devoir d’abord, ensuite du pouvoir et de l’avoir.

V. L’ORDRE DU DEVOIR
L’homme est essentiellement fait pour exécuter un ordre dans la nécessite et l’utilité du temps. Le devoir est une obligation taxée par le réel du souffle. Il comporte des conditions subalternes à nourrir l’essentiel du Souffle. Il est un question.

VI. L’ORDRE DU POUVOIR
Le pouvoir rythme avec la réussite donc aussi une dépendance. Il chasse des primes dans l’harmonie pour reconstruire. Il est le sujet de la loi à appliquer absolument. Il est aussi la condition de la fonction retenue.

VII. L’ORDRE DE L’AVOIR
L’avoir est récolte, la survenue du devoir et du pouvoir qui peut être dans l’échec ou la réussite. L’avoir peut alors être la richesse ou la pauvreté suite à l’auréole de l’émotion.

Prophète KENNE Baudelaire du CILO