POURQUOI TOUJOURS MOISE ET ÉLIE

Élie est le fondement de la maturité spirituelle car Dieu en Élie se confond aux mages par la sanctification.
Élie est aussi le signe que Dieu a réussi à montrer à l’humanité car il est le savoir faire universel réuni en un point de convergence lambda.
S’il est claire que Moise a reçu de Dieu le pouvoir de la réussite au sens de la relativité universelle, il n’en demeure pas moins que c’est lui le catalyseur des expériences jadis inattendues.
Faire donc de Moise un homme de loi est la représentation de Dieu au monde visible.
Cependant Moise n’a pas toujours que servit Dieu. Il est aussi l’incarnation du culte égyptien et araméen.
Dans un domaine aussi large que la connaissance au sens des égyptiens, Moise est celui par qui les illusions sont devenues réalité.
Moise savait avant tout que guérir est un pouvoir divin mais faire des miracles relevait d’une connaissance un peu plus accrue.
Se vanter aujourd’hui de l’agir d’Élie et du savoir de Moise nous mais en garde contre les pessimistes du siècle précédent.
Moise a reçu de Dieu la vérification parfaite des pouvoir ancestraux. Autrement dit il avait le recul divin qu’il fallait pour prétendre au siège de pharaon.
Dans un mois certains Camerounais recevront ce savoir car ils ont comprit le bien fondé du respect de la hiérarchie céleste.
Il revient donc à tout un chacun de savoir et de réfléchir sur le sens de faire d’Élie et de Moise.
Moise réclame aussi le pouvoir du plus participatif car dans ses gènes il a toujours prôné le partage céleste.
Dans sa situation quasi irréfléchie l’homme a tendance à se substituer aux êtres de lumière, sans au préalable remplir les conditions d’élaboration du processus d’initiation.
Moise avait en lui la connaissance mais aussi l’énergie suffisante pour parler au peuple d’Israël.
Moise respectait ses cousins égyptiens car il leur devait le savoir qui a fait de lui un être exceptionnel.
Il avait la particularité d’écoute extraordinaire car son cerveau était constamment branché vers des réalités universelles et préoccupantes.
Dans un certain sens ces deux prophètes avaient suivi une initiation particulière basée sur le brassage des cultures.
C’est aussi le siècle des savants quand on dit de Moise et d’Élie qu’ils sont des Êtres transfigurés.
Moise a fait de son Être une Étoile d’or avant de partir pour des galaxies aériennes.
Élie s’est retrouvé totalement hors de lui quand il s’agissait de faire part de ses expériences célestes aux gens de son époque.
Moise aime avant tout jouir de son expérience afin de la transmettre à ceux qui ont le courage et la perspicacité.
Se dire d’Élie ne fait pas seulement des histoires, mais Élie est aussi notre Être en juxtaposition avec l’absolu de lumière.
Faire partie d’Élie relève du pouvoir du plus participatif dans l’absolu originel.
J’éveille mon Être car Moise et Élie représentent mon Être dans ses avancées les plus profondes.
Faire de moi un Être de lumière sans passer par Moise ou Élie se dit du savant qui craint le savoir originel.
Dans un certain sens Moise se fait passer pour la loi, mais il est la main de Dieu dans sa puissance la plus extrême.
Se vanter d’être Moise suppose que vous avez traversé les étapes du Jourdain et de la mer noire.
Ralentir le processus d’initiation est en rapport avec les énormes dispositions du siècle de l’histoire des savants originels.
Moise est moi, Élie c’est moi car mon Être a toujours été en cohabitation parfaite avec leurs âmes.
Moise a fini son savoir au ciel et Élie a repris les miracles après la mort c’est ça l’origine de l’être dans sa dimension transversale.
A jamais l’homme sera juxtaposé à travers ses récits mais son agir démontre sa participation au règne céleste et absolu.

Reçu par le Prophète Aloys Onana Nkomo