IV- ADORATION DES CRANES

2èmePartie

 Menacées par le néant actif, elles appellent à l’aide d’abord sous forme de menaces au cas où elles sont au bord de la désintégration.

Ce sont en général des âmes encore attachées à la terre qui restent avec des sensibilités humaines, donc qui ont faim ou soif.

L’homme BAMILEKE n’adore pas en principe un crâne, il répond à des sollicitations

Assorties des menaces. Quand l’énergie qui accompagne un crâne donné est menacée de désintégration, elle provoque des pertes d’objets, des accidents et autres pour attirer l’attention sur elle.

En principe, un crâne n’est prélevé, conservé et entretenu que sur la demande de l’âme de son détenteur.

Il y a bien des crânes qui restent tranquilles et qui redeviennent poussière. Etant donné qu’entretenir un crâne n’est pas un acte libre, on ne saurait parler d’adoration.

Me YOKAM Jean Rostand, Apôtre Jean d’Or (Dans REVELATION TOME I, les Initiés africains) page 129-130