LA TRANSITION - Cilocameroun

Le 30 Septembre 2024

Depuis la nuit des temps Satan s’est amusé à dénaturer la fréquence vibratoire de notre matrice originelle.
Pour certains, il cloisonne l’écho de leur âme avec celle des génies, c’est une phase classique de la notion de contrôle.
Le but est de virusser la réalité de leur banque de données en leur imposant une programmation à défaut, c’est la triste réalité pour au moins 70% de certains serviteurs de Dieu.
Pourtant au départ, Dieu nous marque et nous paramètre selon les codes de son Amour, nous conditionnant ainsi à une réalité utile et spécifique pour le bien de tous : c’est le ministère.
Quand l’être dissocié nous tient, il déploie en nous sous forme de cicatrices des tâches microscopiques suffisamment dissimulées par lesquelles il nous excite et nous rend amoureux de l’orgueil, de l’arrogance, des préjugés, de la distraction ainsi nous perdons l’amour de notre nature d’origine pour servir autre chose.
Souvent beaucoup d’appelés portent à leur insu une mauvaise robe en forme de toile d’araignée : c’est un spectre. Pour certains leurs âmes sont substituées par une calebasse, en réalité un mauvais magasin où trône la colère expansive, la haine, la convoitise et la distraction : le mauvais Fond.
Dans son excellence, Yahvé ne désire qu’une seule chose, nous ramener à notre mode et instant initial ceci en :
Créant des concours de circonstances pour nous rappeler toujours qui nous sommes réellement, celui qui s’en rendra compte tend à la découverte de son être, c’est l’instant de la cloche de la sagesse : l’antichambre de la transition.
Laissant libre cour à certains expériences pourtant brutales et douloureuses jusqu’à un certain seuil voulu par lui : L’invite à la prise de conscience.
A un moment donné, « Un je ne sais quoi » nous remettra en question, nous sortira de l’attentisme, nous amènera à faire le point, suscitera en nous l’écoute, le ressentir, l’ouverture, l’envie d’une expérience spirituelle profonde et nouvelle : c’est l’instant de la transition.
Celui qui transite n’est pas celui qui n’a jamais eu de vécu spirituel ou qui n’a jamais entendu parler de Dieu, mais c’est celui qui longtemps malgré son vouloir était sur un chemin tronqué : le piège par l’illusion.
Le schéma d’une bonne initiation tient compte de certaines étapes entre autres : la découverte, la prise de conscience, l’ouverture et l’acceptation, l’effacement de soi, le renoncement de soi, le brisement dans l’humilité, la mutation et la transition proprement dite : L’algorithme de l’initiation.
C’est dans le cadre de l’initiation que le candidat subira le détachement avec la nature non conforme en son être, le but est de retrouver sa réalité selon Dieu et de l’exprimer.
Qui dit transition, dit détachement et renoncement : c’est une phase qui peut –être douloureuse et critique. Si le candidat est trop mélancolique et nostalgique, il peut se retrouver animé d’une émotion de peur du vide, 75% au moins trichent à ce niveau et ne font pas le grand saut.
C’est donc le fait de détacher l’ivraie de la vérité. C’est un moment de passage où on est trop fragile parce que dépouillé du mauvais subtil, la clé ici c’est le oui radical.
Certains aspirants rien qu’au fait de penser passer à une étape supérieure se font intimider par le geôlier du mauvais bord, la confusion, la frustration et la peur suscitée les poussent à renoncer d’abord émotionnellement, puis réellement. Ces derniers sont donc maintenus dans des souches malsaines suffisamment viriles faisant d’eux en réalité des esclaves de l’autre.
On peut relever ici plus d’un mode opératoire quant à la transition :
L’aspect mécanique qui est plus préparatoire ;
L’aspect automatique basé sur la volonté de puissance généralement bien maîtrisé, l’effet est immédiat. Ici tu passes d’un état à un autre.
Pour certains :
Il suffit d’accepter l’évangile originel, en revenant sur l’enseignement non frelaté de notre seigneur Jésus-Christ, ici tout tourne autour de la grâce, la vérité et l’amour ;
Accepter de se faire accompagner : d’où la nécessité d’un guide ;
Accepter et reconnaitre l’instant, s’arrêter un temps soit peu devant la lumière, s’ouvrir et l’accepter : L’accomplissement du chemin de Damas.

Pour les autres :

Aspirer et s’ouvrir à la connaissance pure.
Rechercher le divin en soi.

Pour les privilégies :

Le contact avec Dieu ou un des membres de l’équipe de la transfiguration, c’est une méthode directe et efficace.
Celui qui a bénéficié de cette grâce, commence à voir s’exprimer en lui la vérité dans l’absolu, c’est le saisissement par l’esprit.
La transition est une étape sinequanone pour toute personne aspirante retrouver l’état de la transcendance et l’efficacité en tant qu’homme du futur, l’homme exprimant le Souffle Saint.
Celui qui a transité retrouve dans l’harmonie, différents types de rayonnement :
Le rayonnement particulier : par rapport à un contexte ou une situation précise ;
Le rayonnement personnel : les retrouvailles avec notre nature originelle nous rappellent qui nous sommes et dans un état particulier, autrui peut percevoir l’auréole de notre lumière, qui symbolise notre réalité selon Dieu ;
Le rayonnement infus : vertu émanant de Dieu, c’est le soleil de la grande Harmonie.
La transition nous permet de découvrir le conditionnement spécial reçu pour agir (le pouvoir) et d’expérimenter l’énergie qui l’anime (la puissance), ceux qui ont le pouvoir sans puissance, c’est parce qu’ils sont encore sous les geôles. Satan les voit s’agiter et crier, mais il sait qu’il n’exprime ni l’un ni l’autre, il se moque d’eux. L’idéal est d’exprimer les deux.
Le nom de Jésus-Christ marche toujours, mais tous ceux qui le citent n’ont aucune capacité et aucune posture en Christ, ils le font en vain, c’est plus de la ruse, et l’ennui. C’est impossible d’être puissant sans le ventre bien rempli, celui qui transite est conscientisé par Dieu, il reçoit de lui son souffle, l’harmonie et son Esprit, il n’est pas vide.
La transition, c’est l’instant de la lecture des profondeurs de nos archives, c’est la manifestation de la racine pivotante de l’arbre de vie en nous, c’est l’instant de la réactualisation de nos écrans, afin d’avoir la vision des profondeurs de notre ensoi.
Pour une bonne codification lors de la transition, certains anges insistent sur la sanctification, elle facilitera la gravité avec Dieu.
Le candidat élu sera transpercé par 3 faisceaux, composants de la flamme automatique :
1^ère Faisceau : qui renvoie à la matrice de son histoire et de l’univers, c’est la flamme ontologique ;
2^ème Faisceau : une flamme bleue claire qui renvoie à l’absolu de la science, elle sert aussi de chirurgie réparatrice, sa matrice sera restructurée ;
3^ème Faisceau : une flamme rouge et jaune, qui renvoie au crucifix du Christ, à la réalité de la puissance, la grâce et l’harmonie, à la virgule de la croix : c’est la réalité de la transition.
Transiter c’est accepter recevoir de Dieu le souffle O⁺ dans l’absolu, qui agit sur notre ADN nous détachant du dépôt de l’aïeul pour un dépôt plus agréable, celui de notre identité selon Dieu qui à la notion de libre arbitre.
L’un des buts de la transition c’est de voir acter en le candidat, la notion de l’instant dans l’absolu. Dans ce sillage, il est saisi dans son entièreté et il entre dans le maillon de la volonté de puissance, sans le vouloir, il change de méthodologie (surtout pour celui qui était adepte aux élémentaux), son souffle existentiel fusionne avec le souffle présent, l’instant se particularise et se prépare par rapport à la difficulté présente, il acquiert l’émotion spécifique par rapport à l’instant, il se dégage par la suite un champ de force qui à travers l’énergie focale touche la cible escomptée : La grâce en mouvement.
Celui qui a transité retrouve sa prédéfinition, sa planification et l’effort structuré, Tout ce qu’il fait, il le fait bien. Dans la joie, car l’effort ne vient plus de lui-même, puisque tout a été pré-établi.
Quand la transition a été bien faite selon l’art de Dieu, les trois triangles de l’être (hypocondre, dos et fontanelle) communiquent et dégagent une énergie de synthèse qui nous fait fondre dans l’intimité de Dieu, cette réalité est bien au-dessus du pouvoir des Nubiens, c’est la flamme du miracle.
L’un des pièges de la transition c’est l’autosuffisance, à un moment donné sans trop savoir comment, on devient taquin et orgueilleux. On perd sans le savoir la maîtrise de son art, on ne maîtrise plus la notion de l’instant et du comment, on se pose des questions inutiles par rapport à la mission, on dilue ainsi l’énergie qui nous est transmise : l’égaiement devient une fosse.
Si nous acceptons que Jésus-Christ est :
Réalité dans l’absolu ;
Harmonie dans l’absolu ;
Absolu dans l’absolu.

Il nous permettra de nous réaliser au-delà de la transition de devenir :

Homme Souffle et par la suite Homme Feu : c’est l’apogée de l’initiation.
La transition permet de passer du flou, du pédantisme et l’auto-proclamation au raffinement et à l’auto-détermination : entrer dans l’art du subtil selon Dieu, il n’y a que la lumière de Jésus-Christ qui permet de passer du point A au point B, Jésus-Christ est le pont de la transition.
La transition à ce niveau n’est pas l’apogée, puisque 95% de notre vie réside dans ce qui n’est pas visible, nous devons continuer de travailler notre éveil jusqu’à la perfection, en ayant pour axe :
La fonction de notre état mental ;
La bonne orientation ;
L’ensens du sens ou le bon sens, car le dépannage ne saurait remplacer l’inné.
La transition est une victoire sur l’être cochon à 85%. C’est un témoin de notre circoncision, de l’illumination de notre conscience et la capacité de transformer d’autres consciences, celui qui a transité, a reçu l’onction de la puissance de Bethleem (l’onction de la puissance de la naissance, voulue par Dieu).

Reçu par l’Apôtre Freddy NJAMBOU dit Constantin 1^èr