LA TRINITE, LE DEVOIR DE L’ETRE

QUE S’EST-IL RÉELLEMENT PASSE AVEC LE CHRIST AU DÉSERT ?

  1. Dans l’absolu, l’être doit être dans la connaissance du réel dans  sa qualité unifiée.
  2. Dans la Trinité, le péché est le mal qui doit être évincé pour laisser place à l’être réel.
  3. Dans la trinité, le Père, le fils et l’Esprit-Saint ne font qu’Un pour que dans l’espoir de se redécouvrir, l’être qui veut se réaliser se laisse transporter par le vent ou la lumière de ses profondeurs afin d’être le plus dans l’agir.
  4. Dans la sainte Trinité, l’espérance devient un fait vécu par l’être et le pouvoir l’est encore plus.
  5. Dans l’énergie de la Béatitude, la Trinité qui est espérance donne à l’homme de marquer un temps d’arrêt pour s’interroger sur le devenir et comprendre que Dieu le véritable Père est l’unique chance d’existence par le fils.
  6. Dans la connaissance de la Trinité, les pôles de l’homme doivent se manifester pour lui laisser l’opportunité de  faire lui-même le choix de l’existentiel où qu’il soit.
  7. Pour l’énergie du vide actif, la qualité de vie du Christ au désert c’était de faire sa mue personnelle afin d’entrer dans le champ amplifié de son père pour réaliser en lui-même son processus de développement dans la pureté et la grâce du père dans sa totalité.
  8. Dans le champ mécanique de l’énergie de l’atome, le Christ a stimulé en Lui la qualité uninominale du verbe afin de résister à la tentation.
  9. Dans l’écho de l’Etre absolu, le Christ a fait sa propre mue pour résister à sa propre polarité négative afin d’être à l’image de son Père par l’Esprit.
  10. Dans le don énergétique, le Christ a capté le moment primordial pour faire de la grâce son atout afin de subjuguer le pôle négatif pour faire de la gloire du Père une réalité visible pour tous.
  11. Dans la stupéfaction, l’énergie du double du Christ a créé en lui-même la cadence dans le code de l’Etre-Christ qui a défait son moi afin de réaliser la connexion avec le véritable souffle qui a fait de lui le Dieu parfait.
  12. Dans le convenable, la dissociation du Christ par le pôle négatif a laissé naitre en lui le pouvoir dans la force qui lui a permit de subjuguer les fantaisies de son pôle négatif, afin d’être le vrai oint de Dieu.
  13. Par le verbe dans la création qui est aussi le souffle cosmique dans sa dimension réelle, le Christ dans le défi personnel a fait le tour sur lui-même pour lever l’équivoque qui pouvait être dans son Etre.
  14. La grâce dans la Trinité a donné au Christ de faire ce qu’il devait faire avec tout le sérieux nécessaire et le résultat a été celui qui a fait de Lui enfin dans la valeur absolue le véritable Dieu à venir.
  15. Le temps par le souffle existentiel a donné au Christ de faire Lui-même sa bataille dans son moi intérieur et être dans l’efficacité de son Etre profond.
  16. Le symbole de la Trinité est aussi la réussite dans le devoir qui fait de l’être  une réalité en valeur absolue et au cœur d’une spiritualité vraie.
  17. Le souffle du désert est pour le spirituel l’abandon dans la méditation  qui crée en lui le vrai flux de l’être parfait qu’il est.
  18. Le verbe dans le désert a opté pour l’écho ou le son pour se défaire d’une réalité négative afin de se comprendre et de comprendre son Père et de faire donc sa volonté.
  19. Par la lumière de la foi, le Christ dans sa diversité de principe a laissé s’écouler en Lui le fluide du moins afin de créer en vrai la valeur ajoutée qui a fait de Lui le Dieu de tous les temps.
  20. L’Esprit est le support du Christ au désert. Pourtant la lumière céleste en tant que Souffle divin a créé en Lui la qualité nécessaire, afin de porter le combat humanitaire dans sa dimension négative.
  21. L’Esprit dans sa cadence absolue a créé dans le vêtement (chair) du Christ le souffle nécessaire pour Lui permettre de rester au désert pendant des jours.
  22. Comme  dans le jardin d’Eden, Dieu a fait le pas agréable qui a permis au Christ d’être rattaché au souffle universel  afin de transcender les multiples difficultés du temps.
  23. Comme un Esprit libre, le Christ quitta le désert et ce fut là, la réalité expiatoire du pêché de l’homme dans la dimension esprit et faisant donc le raccordement dans la réalité du verbe qui fut dès le premier jour de la création.
  24. Les tentations au désert sont dans l’apogée, la connaissance du pôle qui fait de l’homme dans sa totalité ce qu’il est au cœur de Yahvé.
  25. La particularité de l’instant du Christ Lui a permis d’être à l’avant-garde de sa conduite et de sa mort sur terre pour libérer l’homme captif du joug  de son être fragmenté.
  26. Dans le cœur de Dieu, le souffle de l’existence est encore et toujours pour permettre à l’homme de se comprendre, de comprendre son environnement  et enfin de travailler pour se défaire de la mauvaise réalité.

Reçu par le  Prophète Rostant  Tchepbiap